• QUI EST L’ABBE CELIER ?
    POUR MIEUX COMPRENDRE SON DERNIER LIVRE,
    SES ORIGINES, SES AUTEURS, SON BUT…


    Maintes fois dénoncé par les dominicains d’Avrillé dans Le Sel de la Terre et Vehementer, ou par les
    éditions de Chiré en Montreuil (Lecture et Tradition et Lectures Françaises), l’abbé Celier continue
    aujourd’hui, en toute impunité, son travail de sape au sein de la Fraternité Sacerdotale St Pie X. Avant
    de quitter la direction de Fideliter ainsi que des éditions Clovis qu’il vient de céder difficilement à Mr
    l’abbé Toulza (après un an de passation de consignes !), l’abbé Celier a voulu, par la publication de son
    dernier livre, porter un nouveau coup à l’oeuvre de Mgr Lefebvre en diffusant son poison moderniste.
    Nommé récemment rédacteur en chef de la Lettre à nos frères prêtres dirigée par son ami et complice,
    l’abbé de la Rocque, il fut aperçu plusieurs fois ces derniers temps aux côtés de l’abbé Aulagnier, un
    des ralliés de l’Institut du Bon Pasteur notamment lors de la conférence de Mgr Fellay à Paris le 7 juin
    2007 à la Mutualité, ce qui démontre la collusion évidente entre les supérieurs de la FSSPX et les
    partisans du ralliement à la Rome moderniste.
    « Tandis qu’ils [les modernistes] poursuivent par mille chemins leur dessein néfaste, rien de si
    insidieux, de si perfide que leur tactique : amalgamant en eux le rationaliste et le catholique, ils
    le font avec un tel raffinement d’habileté qu’ils abusent facilement les esprits mal avertis » ;
    « Trêve donc au silence, qui désormais serait un crime ! Il est temps de lever le masque à ces
    hommes-là et de les montrer à l’Eglise universelle tels qu’ils sont ! ».
    Saint Pie X dans l’encyclique Pascendi Dominici Gregis du 8 septembre 1907.
    « De nos jours plus que jamais, la force principale des mauvais, c’est
    la lâcheté et la faiblesse des bons, et tout le nerf de la guerre de Satan
    réside dans la mollesse des chrétiens ».
    Saint Pie X, Béatification de Jeanne d’Arc, 13 décembre 1908.
    U N ETRANGE VOISINAGE : L’ABBE CELIER SE FAIT EDITER PAR
    JEAN-LUC MAXENCE,
    AUTEUR D’OUVRAGES ESOTERIQUES ET GUENONIENS
    Le livre de l’abbé Celier et d’Olivier Pichon, est publié aux éditions Entrelacs, chez Albin Michel, par
    Jean-Luc Maxence qui y dirige la collection Connivences.
    Jean-Luc Maxence est, par ailleurs, rédacteur à Monde et Vie. Or, il se trouve que la revue Monde
    et Vie est dirigée par Olivier Pichon, lui-même interrogeant l’abbé Celier qu’il connaît bien (ils
    furent tous deux professeurs à l’école Saint Michel de Châteauroux). Bref, un trinôme convenu !
    René Guénon
    La revue Vehementer (diffusée uniquement sur internet et dirigée par des dominicains d’Avrillé) a
    dénoncé récemment Jean-Luc Maxence comme étant fortement lié aux milieux ésotériques. Elle
    rappelle, dans ses numéros 1 et 3, que ce dernier a déjà publié plusieurs ouvrages sur les sujets de
    l’ésotérisme et de René Guénon, haut-initié gnostique. Nous pouvons citer, entre autres, Jung et
    l'avenir de la Franc-Maçonnerie (2004), René Guénon, le philosophe invisible (2001), L’énergie
    psychique collective, Dervy (2003) ou encore L'égrégore (2003).
    Les ouvrages de J-L Maxence sont, de ce fait, salués par certains
    cercles païens et maçonniques !!
    Mgr Lefebvre eût-il accepté d’être publié par un directeur de collection susceptible d’être
    l’occasion d’un voisinage idéologique aussi dangereux pour le combat de la Tradition catholique ?
    ESOTÉRISME : JEAN-LUC MAXENCE À MONDE ET VIE
    1ère année - n° 1 VEHEMENTER Page 1/6 (extraits)
    Jean-Luc MAXENCE se dit écrivain, poète et psychanalyste (il est membre d’honneur de
    l’Association Européenne de Psychanalyse), auteur d’une dizaine d'ouvrages ésotériques et
    guénoniens. Il dirige également un laboratoire d’édition poétique, Le Nouvel Athanor (1), et une revue,
    Les Cahiers du Sens. Ses derniers ouvrages, peu recommandables, sont : Jung et l'avenir de la Franc-
    Maçonnerie, 2004 ; L'égrégore (2) ; L’énergie psychique collective, Dervy, 2003 ; René Guénon, le
    philosophe invisible, 2001 ; Anthologie de la poésie mystique contemporaine, 1999. Dans Monde et
    Vie, il n’hésite pas à diffuser l’ésotérisme et cherche à faire connaître des auteurs ésotériques comme
    Jean BIÈS. Ce dernier, né à Bordeaux le 28 août 1933, fut initié à l’oeuvre de René GUÉNON en 1951
    et a publié plusieurs ouvrages hermétiques dont Art, Gnose et Alchimie. Il rencontrera de nombreuses
    personnalités liées au monde de l’ésotérisme (Frithjof SCHUON, Marie-Magdeleine DAVY, Michel
    BERTRAND, François CHENIQUE, Jean HANI et Jean BORELLA, Antoine FAIVRE…). Encore
    récemment c’est le sulfureux Michel CAZENAVE qui fut mis à l’honneur dans Monde et Vie,
    chose étonnante pour une revue qui se veut catholique ».
    Voir l’article de Geoffroy DAUBUIS, Quand la révolution se fait à droite,
    CIVITAS, septembre 2005, p.32
    (1) – Athanor (vient de : al-tannûr, le four) – Fourneau d’alchimiste.
    (2) – Égrégore : concept ésotérique dont la définition approximative est celle d’« être collectif ». Cette
    notion fut introduite dans l’occultisme par Stanislas de Guaita ;
    1ère année - n° 3 VEHEMENTER Page 6-7/14 (extraits)
    Jean Mabire se proclame hautement et fièrement païen.
    Les recensions de Jean MABIRE dans la rubrique Que lire ? de National-Hebdo étaient souvent très
    mauvaises. Qui pourra dire les dégâts occasionés parmi le lectorat catholique après la lecture
    d’ouvrages recommandés par Jean MABIRE. Un exemple parmi d’autres : la recension du livre
    d e Jean-Luc MAXENCE, J ung est l’avenir de la Franc-maçonnerie , Dervy, 2004, parue dans
    N ational-Hebdo , le 21 mars 2004 :
    La psychanalyse est devenue en quelque sorte l’« anti-religion » dès son apparition. Or nous
    lisons sous la plume du païen Jean Mabire, une recension de l’ouvrage de Jean-Luc Maxence (« Jung
    est l’avenir de la franc-maçonnerie ») dans laquelle Mabire écrit :
    « Explorant la psyché et l’identité bien au-delà du réductionnisme sexuel freudien, il est certain
    que Carl Gustav Jung a réussi, selon l’expression de Jean-Luc Maxence, « un formidable hymne à un
    dépassement du rationnel ». Jean Mabire
    Et Jean Mabire montre l’admiration de Jean-Luc Maxence pour Jung et sa « psychologie des
    profondeurs » :
    « Sa psychologie des profondeurs fait appel à des symboles qui évoquent la quête de quelque Graal, où
    se retrouvent les Templiers et les bâtisseurs de cathédrales, les Rose-Croix et les occultistes, les
    alchimistes et les gnostiques. Dans le dernier livre qui lui est consacré, Jean-Luc Maxence voit aussi
    e n lui l’avenir d’une surprenante francmaçonnerie... ».
    Jean MABIRE, National-Hebdo, 21 mars 2004, p. 12.
    O UTRE DIVERS PSEUDONYMES TELS QUE A BBE MICHEL BEAUMONT
    O U P AUL SERNINE , QUI EST VRAIMENT L’ABBE CELIER ?
    « Dans les devoirs qui nous lient à Dieu et à l’Eglise, une grande place revient au zèle avec lequel chacun
    doit travailler, dans la mesure du possible, à propager la foi chrétienne et à repousser les erreurs ».
    Léon XIII, encyclique Sapientae christianae, 10 janvier 1890
    Concernant les relations de la Fraternité avec Rome, alors que Mgr Lefebvre se faisait un
    devoir d’agir toujours dans la transparence envers les fidèles et les prêtres de la Fraternité,
    l’abbé Celier, tiens à insister sur le caractère nécessairement occulte des négociations
    Rome-FSSPX :
    « Si c’était Mgr Fellay qui faisait ce livre, j ’espère qu’il ne dirait pas ce qu’il va faire, n’estce
    pas, parce que précisément une discussion de ce type-là ne marche que si elle se fait,
    pendant un certain temps de façon secrète. Il est évident qu’une telle négociation ne peut
    pas se faire au départ publiquement » (abbé Celier sur Radio courtoisie le 28 février
    2007).
    Démontrant un goût prononcé pour le secret et l’intrigue, l’abbé Celier se plaît à dire, à
    f aire et à écrire des choses que lui-seul et quelques « i nitiés » peuvent comprendre, par
    exemple en utilisant (même dans sa propre revue Fideliter !) certains pseudonymes.
    C’est ainsi que, sous ses nombreux pseudonymes, il diffuse sa pensée sournoisement
    moderniste.
    Un exemple : dans un article paru dans le n°163 de Fideliter, l’abbé Celier sous son
    pseudonyme d’abbé « Michel Beaumont » (qui est, lui-même, un des pseudonymes
    d’Arsène Lupin dans l’oeuvre de Maurice Leblanc !), renie tout le combat des papes et
    de Mgr Lefebvre pour le Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ. La revue Lecture et
    Tradition, publiée par les éditions de Chiré, dans son numéro 349 de mars 2006, lui adressa
    une juste réplique en dénonçant son « étrange théologie » ! Déjà au premier semestre 2005,
    l’article de l’abbé Beaumont-Celier avait été réfuté par Mr Arnaud de Lassus.
    La liste des ouvrages de l’abbé Celier présentée par les éditions Entrelacs dans leur
    communiqué de presse du 17 janvier 2007, qui pourrait nous faire penser que nous sommes en
    présence d’un important théologien ou universitaire, ne mentionne pas (volontairement ?) tous
    les livres de cet auteur.
    En effet, il manque notamment dans cette liste L’avenir d’une illusion, livre produit par l’abbé
    Celier aux Editions Gricha (« la nuit, tous les chats sont gris ») en 1993 afin d’attaquer la
    mémoire et l’oeuvre de Jean Vaquié qui dénonçait le complot contre l’Eglise et
    l’influence de la Gnose (très présente au sein de la Franc-Maçonnerie) dans les milieux
    traditionnels. Cette réalité gênerait-elle l’abbé Celier ? Et pourquoi ?
    MGR LEFEBVRE AVAIT FORTEMENT SOUTENU JEAN VAQUIÉ QUE L’ABBÉ
    CELIER N’A CESSÉ D’ATTAQUER DEPUIS 1993
    Jean Vaquié, grand pourfendeur du complot contre l’Eglise et des infiltrations
    gnostiques dans les milieux de la Tradition, est mort en 1992, juste l’année qui suivit la
    disparition de Mgr Lefebvre en 1991. L’abbé Grégoire Celier était alors enseignant à
    l’école de la FSSPX à Châteauroux auprès de son ami Yves Chiron. Ce dernier, admirateur du
    théologien moderniste Hans Urs von Balthazar, familier des milieux ésotériques et des
    publications dans les revues licencieuses et païennes (rubriques Lectures d'Eros dans Rébis),
    très lié aux milieux Ecclesia Dei, appartient à la mouvance ratzinguérienne de la « réforme de
    la réforme » propagée par l’abbé Barthe, un proche de Benoît XVI. Yves Chiron est pourtant
    toujours professeur à l’école Saint Michel de Châteauroux !
    Jean Vaquié, qui fut soutenu dans son combat par Mgr Lefebvre, avait révélé et
    explicité les infiltrations gnostiques dans la Tradition catholique.
    Le 27 septembre 1989, répondant à Jean Vaquié qui lui avait adressé son étude sur L’Ecole
    de l’Esotérimse Chrétien, publié dans le n°322-23 du Bulletin Barruel, Mgr Lefebvre
    écrivait :
    « Mgr Lefebvre exprime ses vives félicitations et sa profonde reconnaissance à
    Monsieur Jean Vaquié pour le remarquable ouvrage qu’il a rédigé sur l’Ecole de
    l’ésotérisme chrétien (la gnose).
    Ce faisant il réalise le désir de Léon XIII et de Saint Pie X disant qu’il faut
    enlever le masque de ces gens qui se déguisent en catholiques pour mieux faire
    passer leurs doctrines perverses.
    Que Dieu le bénisse !
    Signé Marcel Lefebvre »
    Cette lettre de Mgr Lefebvre fut reproduite dans le n°4 du S el de la terre (printemps
    1993) et dans le livre d’Etienne Couvert, La Gnose en question paru aux éditions de
    C hiré .
    C’est précisément ce même milieu, proche également des réseaux d’Alain de Benoist (ami
    personnel de l’abbé de Tanoüarn !) et du GRECE (groupuscule néo-païen), que Jean Vaquié
    étudia et dénonça dans les Cahiers Barruel, avec le soutien de Mgr Lefebvre.
    Jean Vaquié à son bureau
    Après la mort de Mgr Lefebvre en 1991 et celle de Jean Vaquié en 1992, l’abbé Celier,
    n’ayant désormais aucune réaction dangereuse à craindre, se livra aussitôt à une
    attaque en règle de l’oeuvre de Jean Vaquié et des travaux des Cahiers Barruel, en
    publiant en 1993 aux éditions Gricha sa brochure intitulée L’avenir d’une illusion (titre, que
    l’abbé Celier avait alors emprunté à l’essai de François Furet que celui-ci venait de publier sur
    l’échec du Communisme. François Furet avait lui-même détourné, il est vrai, ce même titre de
    celui d’un livre de 1927 de Sigmund Freund).
    Dans cette brochure des éditions Gricha, il tentait déjà de disqualifier et de ridiculiser devant
    les fidèles de la Tradition les recherches de Jean Vaquié.
    C’EST SOUS UN PSEUDONYME QUE L’ABBÉ CELIER POURSUIVRA ENSUITE
    SON COMBAT CONTRE JEAN VAQUIÉ ET SON OEUVRE POSTHUME.
    En novembre 2003 en effet, l’abbé Celier allait reprendre ce travail, sous le pseudonyme de
    Paul Sernine (anagramme d’Arsène Lupin !), en publiant « La Paille et le sycomore ». Ce
    pamphlet, publié par les éditions Servir de l’abbé de Tanoüarn (cousin germain de Mr l’abbé
    de Cacqueray et propriétaire de l’hebdomadaire Minute !), reprenait l’essentiel du texte de
    l’Avenir d’une illusion de 1993, et reproduisait les attaques contre Jean Vaquié mais aussi
    contre Etienne Couvert et les Cahiers Barruel. L’abbé Celier prétendait ainsi nier l’existence
    actuelle de la gnose et plus généralement son rôle déterminant dans la révolution contre
    l’Eglise et dans les infiltrations des milieux catholiques traditionalistes, c'est-à-dire
    précisément le coeur de l’oeuvre de Jean Vaquié approuvée et encouragée par Mgr
    Lefebvre.
    Plusieurs abbés et prieurs de la FSSPX ont plusieurs fois, courageusement, dénoncé la
    nocivité des idées de leur confrère. Ce fut le cas notamment de Mr l’abbé Christophe
    Beaublat, prieur de Grenoble en 2003 qui reçu, dans la foulée, un blâme de Mr l’abbé de
    Cacqueray, ce dernier préférant soutenir le scandale plutôt que ceux qui le dénoncent !
    Dans son bulletin Le Bachais (n°54 d’octobre à décembre 2003), après la parution de
    « La Paille et le sycomore », l’abbé Beaublat écrivait ceci :
    « Tout récemment, un méchant petit livre vient de paraître, sur le thème de la Gnose, rempli
    de calomnies odieuses sur des personnes tout à fait estimables. Ceux qui, clercs et laïcs, ont un
    peu étudié la question savent qu'il s'agit d'une étape supplémentaire dans le travail de sape
    qui est mené depuis une dizaine d'années dans les milieux de la Tradition.
    Qu'on ne s'y trompe pas : il ne s'agit pas d'une banale controverse sur un sujet librement
    disputé, mais plutôt d'une véritable guerre, entre d'une part les tenants d'un sens chrétien de
    l'histoire, qui ont toujours à l'esprit Genèse 3, 15 (Je poserai une inimitié entre toi et la femme,
    entre ta descendance et sa descendance. Elle t'écrasera la tête, et tu tâcheras de la mordre au
    talon), où l'on rencontre un véritable consensus des auteurs contre-révolutionnaires et antilibéraux,
    et d'autre part, un certain nombre d'esprits naturalistes, incapables de poser un
    regard de foi sur l'histoire de l'Église, sur l'histoire de France, et sur le monde d'aujourd'hui
    (…).
    Dans ce domaine aussi, il est nécessaire d'être fidèle au combat de Monseigneur Lefebvre,
    qui, à l'exemple de Léon XIII et de saint Pie X, invitaient nos amis des Cahiers Barruel à
    arracher leur masque aux gnostiques infiltrés dans nos rangs.
    C'est donc la guerre, et cette guerre sera difficile. Implorons du Ciel la lumière et la force,
    pour ceux qui, nombreux nous l'espérons, entreront en lice, et aussi, et surtout, pour les
    autorités de la Tradition, qui auront sans aucun doute des décisions pénibles à prendre. Que
    leur bras ne tremble pas ! »
    Abbé Christophe Beaublat, Prieur
    A LA SUITE DE PLUSIEURS PAPES, MGR LEFEBVRE DENONCE
    LE COMPLOT CONTRE L’EGLISE
    « La pénétration du libéralisme dans toute la hiérarchie et jusqu’à la papauté ellemême,
    impensable il y a deux siècles, fut néanmoins pensée, prédite et organisée dès
    le début du siècle dernier par la franc-maçonnerie ».
    « Ce plan est d’inspiration diabolique et de réalisation diabolique ! Mais ce ne sont
    pas seulement les ennemis de l’Eglise qui l’ont révélé, ce sont aussi les papes qui
    l’ont très explicitement dévoilé et prédit ».
    « Le complot de la secte libérale contre l’Eglise » a consisté « à monter à l’assaut de
    l’Eglise en utilisant sa hiérarchie, en la pervertissant jusqu’au plus haut degré ».
    Mgr Lefebvre dans Ils l’ont découronné.
    Son livre fut salué, entre autres par Yves Chiron et Alain de Benoist, un des
    théoriciens de la Nouvelle Droite, dans sa revue Eléments (2004), farouchement
    anticatholique !
    Un exemple d’infiltration caractérisée fut celle du gnostique Professeur Jean
    Borella qui a dû être expulsé de l’Institut Universitaire Saint-Pie X
    (dirigé alors par l’abbé Lorans…) sur intervention expresse de Mgr
    Lefebvre après avoir été alerté par Jean Vaquié.
    Autre « livre » de l’abbé Celier qui n’est pas mentionné par les éditions Entrelacs, la plaquette
    Paul Sernine répond à ses lecteurs (2004), publiée sous un nom d’éditions « emprunté » : les
    Editions du Zébu. Or, cette maison d’éditions, fondées par Paul Carali, s’avère être un
    éditeur de bandes dessinées appartenant à la mouvance libertaire de Charlie Hebdo et de
    Fluide Glacial. Elle publie également une revue, Le Psikopat. Cette maison d’éditions, dont
    le nom a été « choisi » par le directeur de Fideliter, propage une culture libertaire d’extrême
    gauche et reçoit les honneurs de l’Humanité !!
    Quelques publications des Editions du Zébu :
    La plaquette a été imprimée chez Corlet dans la Manche avec mention de dépôt légal.
    I l s’agit d u même imprimeur que celui de F ideliter ! !
    Ci-dessous, un extrait d’un catalogue Clovis (n°46 de décembre 2004) dirigé par l’abbé Celier
    et vantant les ouvrages de… Paul Sernine !!!
    Comment les Supérieurs de l’abbé Celier peuvent-ils tolérer que l’un de leurs abbés, sous un
    pseudonyme, ait recours pour l’édition de sa plaquette, Paul Sernine répond à ses lecteurs, à
    l’utilisation, visiblement abusive, du nom d’une maison d’éditions aussi sulfureuse ? Ou a-t-il
    réellement obtenu l’accord du directeur des Editions du Zébu pour être édité ?
    Mais comment l’abbé Celier peut-il encore agir impunément au sein de la Fraternité ?
    De quelles protections bénéficie-t-il ? Ou quelles pressions exerce-t-il sur ses
    Supérieurs ? Mgr Lefebvre eût-il toléré pareil abbé aussi longtemps ?
    LES EDITIONS GRICHA (« La nuit, tous les chats sont gris ») DE L’ABBE CELIER.
    Nous reproduisions ici le logo des virtuelles Editions Gricha de l’abbé Celier au côté de celui
    de la CNT (Confédération Nationale du Travail), organisation anarcho-syndicale. La
    ressemblance est frappante !
    Le chat au poil hérissé et faisant le gros dos est, en effet, souvent utilisé comme symbole
    dans les milieux anarchistes. Décidément l’iconographie et les références symboliques de
    l ’abbé Celier sont des plus surprenantes ! !
    Quant à la devise des éditions Gricha, « la nuit, tous les chats sont gris », elle peut paraître,
    au premier abord, anodine. Mais rien n’est le fruit du hasard… Vérifions, en effet, les étranges
    origines de cette devise… Nous allons découvrir, une fois de plus, les références
    h autement théologiques d e l’Arsène Lupin de la Tradition !!!
    Emile Poulat, philosophe et ancien prêtre défroqué, chargé d'études en sociologie des
    religions au CNRS est un universitaire influent du milieu conciliaire et des intellectuels de la
    revue Communio et, ce qui est moins connu, très lié aux milieux ésotéristes de la revue
    Politica Hermetica et de ses colloques. Tout un réseau d’« intellectuels », de politiques et de
    scientifiques gravite autour de lui. Le récent rallié à la Rome moderniste, l’abbé de Tanoüarn
    (encore lui !), ne cesse, depuis des années, de dire son admiration pour Emile Poulat.
    En 1999, les 22 et 23 octobre, s'est tenu un séminaire de réflexion où plus d'une trentaine de
    scientifiques ont fait le bilan de leurs recherches pour rendre hommage à ... Emile Poulat ! Les
    actes de ce colloque tenu en l'honneur du "maître" ont été publiés en 2001 chez Bayard sous le
    titre "Un Objet de Science, le Catholicisme". A la fin de ce volume (p. 337) a été placée une
    "Tabula Gratulatoria" pour remercier les personnalités qui ont bien voulu souscrire à ce
    volume, depuis Raymond Barre (!) jusqu'à Mgr Vernette (Délégué de l'Episcopat pour les
    questions relatives aux Sectes) en passant par Massimo Introvigne (fondateur du CESNUR,
    sorte de KGB anti-sectes...) et le cardinal Lustiger... Quel éclectisme ! Or, à la lettre C on
    peut lire : "Grégoire Celier, Directeur des Editions Clovis, Suresnes (Hauts-de-Seine)"...
    Mais, n’en doutons pas, cette nuit-là, "tous les chats étaient gris"... et les intentions de l'abbé
    certainement aussi pures que celles du moustique qui avait décidé de noyauter le pot de
    goudron !
    Mais poursuivons nos recherches qui vont nous ramener à la Gnose... Dans le réseau
    d'amis d'E. Poulat, on trouve Jean-Pierre Laurant, spécialiste de l'histoire des courants
    ésotériques aux XIXè & XXè siècles, "histoire" qu'il enseigne à l'Ecole Pratique des Hautes
    Etudes. Or, J-P Laurant - qui dirige avec Emile Poulat la collection "Politica Hermetica" (...)
    aux Editions suisses L'Age d'Homme (nid de gnostiques et centre de diffusion de
    littérature pro-gnostique) - y a publié en 1992 un ouvrage malheureusement épuisé intitulé
    "L'Esotérisme Chrétien en France au XIXè siècle" … Ouvrage captivant issu d'une thèse de
    doctorat, dans lequel figure au chapitre I, un sous-chapitre 3 intitulé... "La même nuit où tous
    les chats sont gris". Oui, vous avez bien lu ! Cela ne vous rappelle-t-il rien ? Mais si
    "Editions GRICHA: La nuit tous les chats sont gris" !
    Honni soit celui qui verrait ici autre chose qu'un pur hasard !
    (D’après un article de Sous la Bannière n°111 de janvier-février 2004)
    L’abbé Celier-Gricha n’oublie pas les enfants...
    1ère année - n° 3 VEHEMENTER Page 12/14 (extraits)
    L’ABBÉ CELIER SE PREND POUR LE DOCTEUR GUILLOTIN
    « M. l’abbé Grégoire CÉLIER a publié en 2003 le brûlot La Paille et le Sycomore (sous le
    pseudonyme de Paul SERNINE, anagramme d’Arsène LUPIN) pour discréditer les travaux de
    messieurs Jean VAQUIÉ et Étienne COUVERT et leur revue, Les Cahiers Barruel. Ces auteurs
    ont été pratiquement les seuls en France, entre les années 1978 et 1997, à mettre en garde contre
    les infiltrations des auteurs ésotériques dans les milieux catholiques dits traditionnels. Une telle
    audace à vouloir discréditer des personnes aussi honorables, et aux travaux aussi utiles pour la
    combat de la Foi, a quelque chose de déroutant.
    M. l’abbé Grégoire CÉLIER s’est cru un devoir, à l’instar du Docteur GUILLOTIN, de
    décapiter et les têtes de messieurs VAQUIÉ et COUVERT et les travaux des Cahiers Barruel.
    Dans le Paris de la Terreur, il eût fait bonne figure ! D’autant qu’il s’est spécialisé en ce genre de
    hautes oeuvres : la série anti-éducative « Petit Ange », écrite et dessinée par Jean-Luc CHERRIER
    aux éditions Fideliter, dans laquelle tous les adultes sont décapités (une idée de Gricha !), et la
    carte de voeux 2006, reprenant quelques dessins de cette même série, en témoignent : M. l’abbé
    CÉLIER aime à décapiter les adultes. »





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