• Alchimie

     

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    Alchimie : art ancien, surtout pratiqué au Moyen Âge, axé principalement sur la découverte d'une substance qui transformerait les métaux les plus communs en or ou en argent, et sur la découverte de moyens permettant de prolonger la vie des hommes.

    Le Soleil marque l'or, le vif-argent (mercure) Mercure;
    Ce q'est Saturne au plomb, Vénus l'est à l'airain (cuivre);
    La Lune de l'argent, Jupiter de l'étain,
    Et Mars du fer sont la figure.
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    vitryol (l'or y vit) philosophique, ou l'or vert et végétatif

    formule VITRIOL des alchimistes : Visita Interiorem Terrae Rectificando Invenies Opera Lapidem


    L'Alchimie est la séparation de l'impur de la substance plus pure.
    La purification consiste à appliquer trois ou quatre fois, la même technique sur le mercure qui a été séparé.
    Il s'agit donc de soumettre le mercure à l'action du "sel des sages".
    En purifiant le "mercure des philosophes", le sel en accroît et exalte le pouvoir d'aimantation, de sorte que lui-même se charge de l'or astral que l'autre ne cesse d'absorber.
    Celui-ci, devenu le véhicule vitrifié du fuide cosmique, s'est coloré en vert, tandis qu'il augmentait sensiblement de densité.
    Ainsi reçoit-il, indifféremment, les noms de vitriol ou de lion vert, et se trouve-t-il prêt, afin de jouer son très grand rôle, au cours de l'oeuvre médian ou second.

    D’après Paracelse, les corps composés sont constitués de sel, de soufre (principe fixe) et de mercure (principe volatil), représentant respectivement la terre, l’air et l’eau. Il considérait le feu comme impondérable ou immatériel.
    SOUFFRE : Terre (Froid+Sécheresse) visible, état solide
    SEL : Feu (Chaleur+Sécheresse) occulte, état subtil
    MERCURE : Eau (Froid+Humidité) visible, état liquide + Air (Chaleur+Humidité) occulte, état gazeux



    Du mâle et de la femme, fais tois un cercle unique,
    D'où surgit le carré aux côtés bien égaux.
    Construis-en un triangle, à son tour transformé
    En sphère toute ronde. La Pierre alors est née.
    Si ton esprit est lent à saisir ce mystère,
    Comprends l'oeuvre du géomètre et tu sauras.
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    La Pierre était triangulaire dans sa forme, quadrangulaire dans son état et circulaire dans son origine.


    La Pierre est un triangle dans son être car elle est issue des trois principes de la philosophie hermétique, dont deux seulement subsistent, entrelacés [Soufre et Sel], tandis que le Mercure se résoud et n'est présent que sous quelques restes.

    Un carré dans ses qualités, car elle est issue des quatre éléments. Rappelons que l'ESPRIT est essentiellement formé d'EAU et d'AIR ; que le CORPS est fait de TERRE mêlé d'un peu de FEU ; que l'ÂME, enfin, est constituée de FEU et d'AIR.

    Car pour l'homme complet, le mystère de la nature humaine est une sensation (la terre), une pensée (le feu), un sentiment (l'eau) et une intuition créative (l'air).



    Les trois feux du Grand Oeuvre
    en bas, le feu élémentaire du fourneau;
    à mi-champ, celui de la "matière première", que figure le triangle associé au cercle, à l'intérieur du carré
    en haut, le "feu secret" ou rayon solaire, cristallisé dans la "Pierre Philosophale".
    Ce troisième est unus et seul agent qui puisse provoquer toute transmutation, au sein des tois règnes de la Nature.




    La "matière première" (sujet des Sages) : un cinabre (minerai du sulfure d'un métal contenant des impuretés)
    le cinabre (sulfure de Mercure HgS soufre 32-mercure 200), l'argentite (sulfure d'argent Ag2S), la galène (sulfure de plomb PbS), la cogélite (sulfure de cuivre CuS), l'étain, l'orpiment (sulfure d'arsenic As4S6), le réalgar (sulfure naturel d'arsenic augmenté de soufre ou d'arsenic), la blende (sulfure de zinc ZnS), la pyrite (sulfure de fer FeS2), la stibine (=ARIES, 2 kg de trisulfure d'antimoine S3Sb2+3Fe=Sb2+3Sfe, il fond à 548°), la kermésite [kermès=variété de chêne) (minerai proche de la stibine)
    pyrite de fer arsenieuse/antimoniée (minerai de fer contenant comme impuretés de l'arsenic et de l'antimoine)

    Le "feu secret" (pour extraire le "mercure philosophique") : un sel double, oxydant (acide organique)
    200g de tartrate acide de potasse (=le BOUCLIER, il provient du tartre purifié de l'intérieur des tonneaux)
    800g de "salpêtre des Philosophes" (=la LANCE, nitre, nitrate de potassium NO3K) [proportion 14% broyée et partagée en 2+4+6+2 parts]
    1/15e de iodure de sodium (INa) vivifié au "lait de Vierge" pour être sublimable (esprit astral)
    le "lait de Vierge" est préparé à partir du sel tiré de la rosée de mai (40 jours, signes Bélier-Taureau du 21/03 au 20/05)

    Les 3 Oeuvres du "magistère" (modus operandi) :
    • commencer en mai le premier Oeuvre (matière éloignée de la Pierre -> matière prochaine)
    • deuxième Oeuvre (matière prochaine -> rebis)
    • troisième Oeuvre (rebis -> Pierre philosophale) <eul>

      Couleurs de l'Oeuvre : </eul>
      • noir (1er-8e jour),
        En alchimie, la Nigredo ou Oeuvre au noir est aussi dite "niger nigrius nigro" : le noir plus noir que le noir !
      • blanc (9e-15e jour),
      • rouge (16e-26e jour)
        <dans alchimie="" avec="" blanc="" br="" duel="" et="" fondamental="" forme="" le="" me="" principe="" rouge="" sulphur.="" symbolise="" un="">L'Oeuvre au rouge, la rubedo correspond à l'élévation du feu jusqu'a sa plus haute intensité. Comme le rappelle Jung, " Le rouge et le blanc sont alors roi et reine et peuvent alors célébrer leur noces chimiques". L'oeuvre au rouge qui donne le soufre pur à la pénétrante odeur permet de réaliser enfin l'union du soufre et du mercure dans le creuset d'où doit naitre l'or pur ce que réalisa Nicolas Flamel le 25 Avril 1382 à la tour Saint Jacques. <eul>

        La formule "Solve et Coagula" résume bien la dissolution des corps (8 jours) et la coagulation des esprits (18 jours).

        Quatre boules verticales représentent du bas vers le haut : le feu vulgaire [flamme] ; le feu de corruption [putréfaction, l'oeuvre au noir] ; le feu de dissolution [dissolution, oeuvre au blanc] ; le feu de coagulation [oeuvre au rouge].
        </eul></dans>




        Principaux termes hermétiques


        adepte (alchimiste qui est supposé avoir réalisé la "Pierre philosophale")
        magistère (ensemble des opérations qui amènent à la réalisation de la "Pierre philosophale")
        athanor (fourneau où l'on place l'oeuf philosophique, représenté par une ou plusieurs tours, ou un petit château)
        vaisseau du Grand Oeuvre (vase, récipient en verre ou en poterie), creuset (croix grecque)
        Escargot (lenteur du travail alchimique par la voie humide. En Orient, emblème de la Connaissance)
        Labyrinthe (symbole du travail de l'Oeuvre alchimique)

        le sel double qui constitue le "feu secret" (Vulcain lunatique)
        "Sel des philosophes" (arsenic)
        Soufre (matière sèche) = or des Sages, or philosophique, coeur, lion, soleil, Roi (principe mâle)
        Mercure = clé de l'Oeuvre, coq, coquille Saint-Jacques, dauphin, cygne, fou, serpent, caducée, chien de Corascène, chienne d'Arménie, lune, Reine (principe féminin)
        Le Lys blanc, mercuriel, volatil est un mercure purifié par le feu. On le représente donc par un croissant de lune dont les pointes sont dirigées vers le haut conjoint à une croix en dessous (symbole du feu, de la cuisson).
        Dragon (personnifie la Matière première; il doit être tué, dès le début de l'Oeuvre, par une lance ou une épée, donc ouvert)
        Le crâne, emblème des transformations naturelles comme de la matière première du Grand Oeuvre.
        Livre fermé ou Vierge noire (symbole de la substance minérale brute, de la Matière première, telle qu'elle sort de la mine)
        Livre ouvert ou Vierge blanche (hiéroglyphe de la Matière première qui a été travaillée)
        Saturne=plomb=noire (dragon noir, plomb des philosophes/Sages, Magnesia lunarii)=sable en héraldique (Terre, nuit et mort)=signe astrologique du Bélier

        Agneau : emblème de l'édulcoration du principe arsenical de la Matière
        Corbeau : putréfaction, l'Oeuvre au noir (caput mortuum, bucrane ou crâne de boeuf)
        Salamandre : calcination (sel central)
        Arbre sec (hiéroglyphe des métaux qui ont perdu leur activité à la suite des opérations métallurgiques)
        Union du fixe et du volatile
        Mercure philosophique (sel extrait de la matière première sous l'action du "feu secret")
        Licorne (lumière naissante du mercure)
        Conjonction du Soufre et du Mercure puis séparation
        noces chymiques (mariage du soufre et du mercure des Philosophes dans l'oeuf philosophique)
        oeuf philosophique (ballon de verre qui contient la matière philosophique au moment de sa cuisson finale)
        vitriol ou Lion vert (dissolvant philosophique, alkaest)
        queue de paon (succession de couleurs au cours de la coction)
        faire voler les Aigles ou sublimations (transformation d'un corps solide en vapeur sans passer par l'état liquide)
        les deux natures symbolisées par le Lion et l'Aigle
        Bain du Roi (liquide composé de la solution du "lait de Vierge" et du "Mercure philosophique")
        Le "sang du dragon" (liquide rouge)
        rebis (substance double issue des deux premiers Oeuvres et cuit au cours du troisième dans l'oeuf philosophique)
        Pierre philosophale : dé à jouer, phénix, rose hermétique (produit terminé de l'Oeuvre alchimique)
        poudre de projection (corps obtenu par la fermentation de la Pierre philosophale avec le métal)
        projection (transmutation métallique)
        secretum secretorum (à fabriquer soi-même)
        Verbum dimissum (parole perdue)

         


        Plan général des sections alchimiques (DOCUMENT TRES COMPLET)

        1- Collection des grands traités alchimiques
        2- Gravures et emblèmes alchimiques
        3- Symboles alchimiques et spagyriques
        4- L'idée alchimique
        5- Précis de symbolisme alchimique
        6- L'arsenal hermétique
        7- Le Laboratoire légendaire
        8- Les textes

         



        Le Magistère


        préparer dans un mortier d'agate 95% de pyrite arsenieuse, un métal (fer=1kg de clous, plomb, argent ou mercure)
        mélanger et broyer pendant 5 ou 6 mois
        1er jour (oeuvre au noir)
        chauffer dans un creuset en augmentant progressivement la température (jusqu'à 165°) du four au charbon de bois (10j)
        attention aux vapeurs de mercure et à l'hydrogène arsenieux
        ajouter au mélange un oxydant : acide organique (acide tartrique ou citrique)
        imbiber le tout avec le "sel des philosophes" ("lait de la Vierge")
        triple dissolution (solve) grâce à un acide en lumière polarisée
        faire évaporer le liquide et recalciner le solide de très nombreuses fois (soufre, charbon, nitrate)
        signe : cristaux étoilés, couche d'oxyde
        "... acquisition du mercure philosophique, substance vivante, animée, issue du soufre pur radicalement uni à l'eau primitive du céleste ..." (Fulcanelli)
        retirer du creuset et "laisser mûrir" à l'abri de l'air et de l'humidité dans un récipient transparent en cristal de roche (fermeture hermétique)
        chauffer le récipient contenant soufre, charbon et nitrate à un certain degré d'incandescence en évitant l'explosion obtenir une "essence", un "fluide bleu-noir" (aile de corbeau) couleur du gaz électronique (électrons libres)
        ouvrir l'"oeuf alchimique" dans l'obscurité à la lumière de ce liquide fluorescent
        au contact de l'air ce liquide fluorescent se solidifie et se sépare
        => substances nouvelles, propriétés d'éléments chimiques purs, inséparables par les moyens de la chimie
        laver les scories, pendant des mois, à l'eau tri-distillée et conserver cette eau à l'abri de la lumière et des variations de température
        cette eau aurait des propriétés chimiques et médicales extraordinaires
        c'est le dissolvant universel et l'"élixir de longue vie" de la Tradition, l'élixir de Faust
        substance soluble dans le verre à basse température et avant le moment de fusion de celui-ci
        cette substance, en touchant le verre légèrement amolli, se disperserait à l'intérieur, lui donnant une coloration rouge rubis avec fluorescence mauve dans l'obscurité
        c'est la poudre obtenue en broyant ce verre modifié dans le mortier d'agate que les textes alchimiques nomment la "poudre de projection" ou "pierre philosophale" (capable d'assurer des transmutations de métaux vils en or, argent ou platine)


        Alchimie et Sacrements

        Que faisons-nous lors du signe de la croix, si ce n'est un rectangle qui nous permet de passer par le centre de notre corps et qui résume tout l'espace : tel est le voyage intérieur.
        Le Soi de l'homme ne s'identifie ni avec son corps (sensation), ni avec son âme (sentiment), ni avec son mental (idées et raison), mais avec son esprit, - son cœur -, "la fine pointe" des mystiques (reliés au Mystère).

        Que dire des sacrements ?
        Le baptême désigne la "mort" symbolique de l'étranger, de l'inconnu, de celui qui ne fait pas partie du groupe : c'est l'Oeuvre au noir transposée au domaine collectif. A partir de ce moment, le Chrétien passe sous la protection du groupe ; et comme pour tout rite de passage, il portera un vêtement blanc. (Dans les rêves on retrouve la notion de baptême à travers la piscine). Comme dans toute respiration, toute mort précède une résurrection : c'est l'Oeuvre au blanc.

        Dans l'eucharistie, le pain est le moyen, de l'existence physique, le vin, le moyen de l'existence spirituelle ; (la substance volatile se nomme "esprit"). L'eucharistie est l'Oeuvre au rouge, sacrement de l'union, accomplissement de la transmutation. En absorbant le corps et le sang du Christ, on devient Pierre philosophale : - suprême conciliation des contraires. Ce sacrement que l'on sort du ciboire (normalement fermé d'un couvercle portant une croix) symbolise l'Oeuf philosophique, le "vase hermétique", c'est-à-dire le réceptacle de la "matière première" en tant que tout ce qui nous encombre (+). L'église de pierres, -de pierres vivantes, - c'est l'église des âmes.



        ISIS et alchimie

        Un manteau noir recouvre le vêtement d’Isis qui est tantôt blanc, tantôt jaunâtre ou rougeâtre. Elles symbolisent les quatre étapes du processus alchimique dans lequel l’idée de totalité est également associée à la Déesse qui résume en elle ces quatre stades: Nigredo - albedo - rubedo - citrinitas.

        Nigredo:La noirceur de la terrible et torturante confrontation avec l’inconscient, la rencontre avec son ombre qui provoque un sentiment de confusion, un état de dépression et de désintégration du moi.

        Albedo: Attitude réceptive vis-à-vis de l’inconscient, entrer en contact avec son ombre, travail de différenciation de la partie non-développée de la psyché, lavage, “travail difficile”, stade calme de détachement, clarté lunaire, réalisation de l’anima ou de l’animus.

        Rubedo: Début de la réalisation du Soi, état de conscience nouveau.

        Citrinitas: Jaune ou multiplication, semence, émanation transformante, Tao, union avec le cosmos, harmonie avec l’ensemble du monde.

        Demeures Philosophales



      • Aix-en-Provence : cathédrale Saint-Sauveur
        Amiens : la cathédrale, Notre-Dame d'Amiens
        Arles : cathédrale Saint-Trophime
        Arreau (Hautes-Pyrénées) : église
        Avignon : le Palais du Roure
        Beaune : les Hospices
        Beauvais : cathédrale Saint-Etienne
        Bédarrides (Vaucluse) : église
        Saint-Bertrand-de-Comminges : église
        Bourges : la cathédrale, église Notre-Dame, église Saint-Pierre-le-Guillard, le Palais Jacques Coeur, l'Hôtel Lallemant


        Les caissons alchimiques de l'Hôtel Lallemant à Bourges :


        Saint-Brisson-Sur-Loire : église Saint-Brice
        Cahors : La Maison Verdier
        Charlieu : l'abbaye bénédictine
        Chartres : la cathédrale, la maison du Saumon
        Colmar : musée (vierge à la licorne)
        Coucy : château de Coucy
        Coulonges-sur-l'Autize : le château (voir Fontenay-le-Comte)
        Dammartin-sur-Tigeaux : l'obélisque
        Dampierre-sur-Boutonne : le château (grande cheminée, 93 caissons)


        Dampierre-sur-Boutonne

        La Ferté-Bernard : maison de bois du XVe siècle
        La Ferté-Macé : église
        Figeac : église Saint-Sauveur
        Fontenay-le-Comte : château de Terre-Neuve (cheminée du grand salon)


        Cheminée du château de Terre-Neuve à Fontenay-le-Comte

        4 de chiffre



        Saint-Germain-en-Laye : musée (autel du VIIe siècle)
        Saint-Grégoire-du-Vièvre : église au rébus alchimique
        Guimiliau (Finistère) : église
        Hendaye : croix cyclique


        Les 4 âges de la croix cyclique d'Hendaye


        La Celle-Bruère : église
        Laon : église Notre-Dame
        Le Mans : la cathédrale Saint-Julien, maisons alchimiques du vieux Mans (maison du grabatoire, maison du pèlerin, maison de la tourelle, maison des deux amis, maison de l'arbre sec, maison de l'Annonciation, maison dite de la reine Bérangère, maison du pilier rouge, maison d'Adam et Eve)
        Lencloître (Vienne) : château de Grand'Cour (vitraux)
        Le Plessis-Bourré : le château (escalier, plafond de la Salle des Gardes)
        Le Puy : la Vierge noire de Notre-Dame-du-Puy
        Limoux : chapelle Notre-Dame
        Luz (Hautes-Pyrénées) : église des Templiers
        Lyon : la cathédrale Saint-Jean
        Manosque : Vierge noire de l'église Saint-Sauveur
        Marly-le-Roi : musée (le talisman)
        Marseille : Vierge noire de l'église Saint-Victor
        Melle (Deux-Sèvres) : église Saint-Hilaire
        Montferrand : maison d'Adam et Eve
        Montmorillon : la Maison-Dieu
        Nantes : cathédrale Saint-Pierre (tombeau de François II)
        Nice : le monastère de Cimiez
        Notre-Dame-de-l'Epine (Marne) : basilique Notre-Dame
        Paray-le-Monial : la basilique, l'hôtel de ville
        Paris : la cathédrale Notre-Dame de Paris, la Sainte-Chapelle (verrières), église Saint-Merry, musée de Cluny (Dame à la Licorne), musée du Louvre, la fontaine du Vertbois, la Vierge noire de l'Observatoire, maisons alchimiques (rue Le Regrattier, rue de la Ferronnerie, taverne Nicolas Flamel rue de Montmorency)



        La fontaine du Vertbois

        Ploërmel (Morbihan) : église Saint-Armel
        Poitiers : Notre-Dame-la-Grande, église Saint-Porchaire, porte alchimique rue Barbatte
        Quimper : église Notre-Dame-de-la-Cité
        Reims : la cathédrale, musée Saint-Rémi (tympan de la porte d'entrée d'une maison du XIIe siècle), musée Saint-Denis (tableau Vierge sur un croissant lunaire)
        Rocamadour : la Vierge noire de Notre-Dame-de-Rocamadour
        Romorantin : la maison du "Carroir doré"
        Rouen : la cathédrale, hôtel de Bourgtheroulde
        Thiers : maison de l'Homme des Bois
        Tousson (Seine-et-Marne) : maison Pierre Belle (1762)
        Troyes : église de la Madeleine
        Vichy : Vierge noire de l'église Saint-Blaise
        Vienne : pimatiale Saint-Maurice (chapiteaux)
        Villesalem (Vienne) : l'abbaye de Villesalem
        Vitré : porte de maison rue Notre-Dame
        Saint-Wandrille : abbaye de Saint-Wandrille

         
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