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     En marge de l'éclipse du 26 fév.98: Quelques mystères concernant Mars

     

     

    I Introduction

      Le 26 Février 1998, l'éclipse totale de soleil, visible heureusement en Guadeloupe, et où le ciel était dégagé, nous a permis d'observer, entre autre chose, Mars, la planète rouge, en plein jour, ce qui est rarissime.Il est peut-être alors ici, le moment de nous poser quelques questions sur notre voisine qui restent jusqu'à présent sans réponses.

      Déjà dès 1973, le Major Donald E. Keyhoe qui a travaillé à USAF(United States Air Force : Force aérienne des Etats Unis) et qui a dirigé pendant 13 ans le NICAP: (Comité National Américain d'enquêtes sur les phénomènes aériens) et qui est l'un des chercheurs les plus documentés et dont l'autorité est mondialement reconnue , affirmait dans un ouvrage publié aux USA et intitulé : " Aliens from space the real story of UFOs " et traduit en 75 en français sous le titre " Les étrangers de l'espace " aux Editions France Empire, pages 193 et 194, qu'il avait eu en mains des clichés de Mars de la NASA pris par Mariner IV, où l'on voyait parfaitement des structures régulières en forme de canaux alors que l'on rejetait totalement cette possibilité à l'époque.

      Parti le 4 décembre 1996 et après un voyage de 497 millions de km sur une durée de 7 mois, la sonde MARS PATHFINDER s'est posée sur la planète rouge le vendredi 4 juillet 97 à 17h 07 GMT, 20 ans après le succès de 2 Vikings arrivés en 1976 et alors le petit robot SOJOURNER a envoyé des milliers de photos de la plaine d'Ares Vallis où hèlas, on ne voit que des cailloux et du sable. Sans doute aurait-il été plus enrichissant de le déposer dans la vallée de Cydonia où des mystères plus que surprenants nous y attendent. En voici la preuve flagrante que nous décrit admirablement Robert DUBOURG-REYNAUD dans le remarquable article paru dans la revue hélas disparue "Mystère" n°17 de Décembre 1994 dont nous reproduisons de larges extraits ci-dessous:

    II l'article de la revue Mystère.

    Des "canaux"au "visage": un siècle de visions martiennes.

      "Aucune planète n'a suscité autant de controverses ni remué autant de passions. Dernière polémique en date: celle du "Visage" de Cydonia, révélé en 1976 par les photographies transmises par Viking I. S'agit-il d'un signal émanant d'une civilisation défunte ou d'un simple rocher caressé par la lumière rasante ? Les calculs des ordinateurs, en tout cas, trouvent des choses bien étranges.

       L'astronome italien Giovanni Schiaparelli, dans les années 1870, avait cru distinguer, à la surface de Mars, tout un réseau de canaux irriguant les déserts de la planète. Schiaparelli s'était trompé, les canaux, de l'avis de la communauté scientifique, n'étaient qu'illusion d'optique. Une trentaine d'années plus tard, Nicolas Tesla et Guglielmo Marconi, deux physiciens de renom crurent avoir capté, provenant de la planète rouge, des signaux radioélectriques qu'ils furent tentés d'attribuer à une "intelligence étrangère".

       En 1954, un chercheur japonais, le docteur Tsunéo Saheki, observa, à la surface de la planète, une lueur d'extrême brillance, suivie d'éclairs, qui duraient à chaque fois, entre trois et cinq secondes.

       Cette même année, alors que Mars et la Terre se trouvaient en opposition, plusieurs astronomes purent observer de gigantesques formations nuageuses, se manifestant brusquement au coeur de l'après-midi martien. Le phénomène, qui, à chaque fois, durait plusieurs mois se manifesta à nouveau en 1956.

       En 1976, la fantasmagorie martienne allait s'enrichir d'un chapitre particulièrement spectaculaire. Une série de photographies transmise par la sonde américaine Viking I, alors qu'elle survolait, à plus de 1500 kilomètres d'altitude, la région de la planète baptisée Cydonia, faisait clairement apparaître la forme d'un "visage", long d'un kilomètre et demi, à laquelle s'ajoutera bientôt celle d'une "pyramide" et d'un agencement de petites structures polyédriques. Voyez donc l'image  ci-dessous:

     

       Pour la NASA et ses spécialistes de l'interprétation photographique, le "visage"et la "pyramide" n'étaient que des formations rocheuses très ordinaires auxquelles seule la lumière rasante conférait une apparence qui ne l'était pas.

    Une logique géométrique

       Jusqu'en 1983, ce fut la position la plus généralement répandue dans la   communauté scientifique internationale. Cette année-là, cependant, l'un des consultants de l'agence spatiale américaine, Richard Hoagland, eut l'idée de soumettre la photographie du "Visage" de Cydonia et les "pyramides" voisines, à l'analyse impartiale d'un ordinateur. Hoagland pensait qu'à l'instar des hauts-lieux de la préhistoire, comme Stonehenge ou Carnac, l'agencement des reliefs de Cydonia pouvait obéir à une logique géométrique et, par là, devenait symbolique. Les calculs auxquels le savant et son ordinateur se livrèrent produisirent quelques résultats étonnants. Ainsi un observateur qui se serait placé au centre du petit groupe de structures polyédriques, aurait vu, il y a 500 000 ans, le soleil du solstice martien se lever exactement dans l'axe du "visage". Ce constat, s'il ne prouvait rien, conduisit à une autre découverte. En prolongeant les lignes qu'il avait tracées depuis le polyèdre central et le visage, Hoagland put mettre en évidence tout un alignement de structures qui n'avaient pas été repérées jusque-là.

    Une forme "Non-naturelle"

       Hoagland qui prèside aujourd'hui la "Mission Mars", un groupe de scientitiques dissidents de la NASA, se dit convaincu que le visage fut sculpté, en des temps très reculés, pour attirer sur Mars l'attention d'éventuels observateurs. Le signal, visuel dans un premier temps, serait également mathématique : l'analyse des relations angulaires et spatiales qu'entretiennent les principales structures de Cydonia produit systématiquement les mêmes constantes: phi, autrement appelée "section d'or" pi, et e, la base de tout logarithme naturel.

       Mieux : profitant des dernières trouvailles de détection de formes élaborées lors de la guerre du Golfe, Hoagland soumit les reliefs de Cydonia à une analyse fractale. Cette technique, qui permet de distinguer même au travers d'un camouflage élaboré, une "forme naturelle" d'une autre qui "ne le serait pas", avait été utilisée avec succès par les services de renseignements américains contre les chars de Saddam Hussein. Dans le cas des stuctures de Cydonia, le verdict de l'analyse fractale fut sans appel: Le visage de Mars est la forme "moins naturelle"que l'on puisse trouver dans une zone de 6000 km2.(Notons avec le temps, ceci n'est pas dans l'article, que l'image envoyée par "Mars Global Surveyor" en Avril 98 ne montre rien de particulier à cet endroit. Voyez donc l'image  ci-dessous:

      Voici d'ailleurs une récapitulation des modifications de cette structure:

      

      Mais dans l'ouvrage publié en 1982 intitulé "Unsual Mars surface features" par Vincent Dipietro, Gregory Molenaar et Dr John Brandenburg et publié par Mars Research P.O. BOX 284 GLENN DALE, MARYLAND 20769, nous avons découvert cette image qui ne semble pas venir d'une illusion d'optique et dont certains éléments (comme les sphères près de l'œil et des sortes de  dents que montrent les flèches) ont totalement disparu par la suite. D'ailleurs, nous avons aussi découvert le site  : http://www.ebtx.com/theory/marsface.htm d'après lequel  la National Security Agency aurait "falsifié" le fameux "visage" pour le rendre plus "naturel ".

      



       D'autres extrapolations, fondées sur d'autres mesures allaient conduire Hoagland à rechercher, sur d'autres planètes, ce qui se trouvait dans une zone particulière (19,5 degrés au-dessus ou au-dessous de l'équateur) que semblaient indiquer certains indices livrés par les polyèdres de Cydonia. A cette latitude, sur Terre, Hoagland trouva les volcans hawaiiens, sur Mars, Olympus Mons, la plus haute montagne de tout le système solaire et, sur Jupiter, la grande tache rouge. Etonnant ...? Plus encore lorsqu'on sait que Hoagland avait prévu qu'à cette même latitude, on trouverait sur Neptune quelque chose d'étonnant. Deux semaines plus tard, au mois de juillet 89, la sonde Voyager confirmait qu'à l'endroi prévu, Neptune aussi avait sa tache, presque aussi vaste que celle de Jupiter.

       La NASA assaillie de toute part avait accepté, au début des années 1990, de faire ce qu'elle pouvait pour tirer l'affaire au clair. La sonde Mars Observer qu'avait lancé au mois de septembre 92 avait pour mission, entre autre, de photographier à nouveau le site, mais cette fois avec des instruments offrant une résolution cinquante fois supérieure à celle obtenue par les instruments que Viking I avait emportés seize ans plus tôt. On sait ce qu'il advint de Mars Observer:Le 24 Aout 93, près d'un an après son lancement et alors qu'abordait la banlieue martienne la sonde cessa soudainement d'émettre. Quatre ans plus tôt, les deux phobos soviétiques avaient subis le même sort (Ici nous soulignons aussi que les deux dernières sondes de la NASA "Mars Climate Orbiter" lancée en Dec 98 et "Mars Polar Lander" partie en Dec 99, ont elles aussi, toutes les deux, été bel et bien perdues) ; . Coïncidences ? Hoagland n'en croit rien. Pour lui, il y a la-bas, sur la planète rouge, "des secrets que pour une raison ou une autre, on nous interdit de trop approcher ". Fin de l'article de Mystère."

    Il nous reste évidemment à déterminer "qui" se cache sous ce "On"...?

    III Prolongements révélateurs.

         Nous avons attendu patiemment les images de Mars Global Surveyor qui devaient nous montrer en 50 fois mieux, les images de la pyramide tronquée nommée la "forteresse" formée de gigantesques "murailles" structurées de trois angles droits parfaits.
         Rien de valable n'est venu jusqu'alors satisfaire notre curiosité. Notons pour terminer qu'en
    Avril 1997 paraissait aux , un ouvrage remarquable et désormais incontournable sur cette affaire de Mars, de GUY GRUAIS et de GUY MOUNY intitulé : "Guiseh, au-delà des grands secrets" oú ces auteurs nous font part des recherches qu'ils ont effectuées sur près de 500 clichés de la NASA obtenus par le Service d'Imagerie Planétaire de la Faculté d' Orsay-Sud . Des agrandissements de diverses parties du site de Cydonia Mensaé autour des "pyramides" et du "fameux visage" montrent très nettement des alignements, des formes rectangulaires géantes ressemblant à des ruines anciennes de villes. Nous empruntons avec déférence , à ces auteurs le montage suivant où nos avons placé à ma main , certaines indications, n'ayant pas de logiciel pour faire mieux :
     

     

      et on y voit même une colline circulaire de 2200 m de diamètre à étages possédant un replat tout rond à mi-hauteur mettant bien en relief une coupole supérieure et supportant un gigantesque rectangle de près d'un km de long et le tout connecté à une sorte de rampe d'accès à bords parfaitement rectilignes de plus de 900 m Voyez donc l'image  ci-dessous:

      Et tout cela est intégré dans un cadre géométrique où règnent le nombre d'or et les coudées égyptiennes.
    Mars Global Surveyor, la sonde sus-mentionnée, placée en orbite autour de Mars le 12 Septembre 1997, qui seule reste en piste, et dont les caméras permettront, de distinguer parait-il des objets de la taille d'une automobile va-elle enfin, un jour, lever le terrible doute qui nous assaille et divise les scientifiques ?

      

     

      





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