• L'ARCHEOMETRE DE SAINT-YVES D'ALVEYDRE

    L'ARCHEOMETRE DE SAINT-YVES D'ALVEYDRE

    L'Archéomètre se révèle comme l'aboutissement de dispositifs synthétiques inventés par de grands penseurs connus ou moins connus comme Leibniz, Hoéné Wronski ou Adolphe Bertet. Il apparaît comme étant le successeur direct du prognomètre de Wronski.

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    L'Archéomètre est un instrument de précision, un rapporteur cyclique et encyclopédique, un code synthétique des hautes études religieuses, scientifiques et artistiques. Sa construction comprend les séries suivantes, en allant de la périphérie vers le centre.

    l) Un double rapporteur circulaire et différentiel divisé en 360°, subdivisé en minutes, secondes et soixantièmes de secondes. Chaque couple de nombres différentiels additionnés ensemble donne le nombre musical 360 à chaque degré.

    2) Le zodiaque du langage cosmologique, zone de 12 lettres morphologiques, appelées Vattan, disposées dans 12 écussons placés à 30° les uns des autres, respectivement à 30, 60, 90, 120, lso, 180 etc... en accord avec les aspects cosmologiques. Tous ces nombres sont musicaux. La lettre morphologique contenue dans chaque écusson est accompagnée par son équivalent romain ou d'un autre caractère, et par le nombre logique qui l'exprime selon l'ancienne méthode des patriarches dans leur alphabet schématique des 22 lettres numérales.
    Les 12 lettres que nous appelons zodiacales sont:
    Y (la), L (30), M (40), W (70), Ph (80), K (loo), R (200), E (5), O (6), Z (7), H (8), T (9).


    En vue de montrer que la construction de la zone des lettres n'est pas arbitraire, nous ajouterons les nombres littéraux précédents. Leur total est de 565, en lettres décimales 5, 6, 5 : EOE (selon la prononciation : E-V-E, EUOE, HOH, etc...) dans tous les langages schématiques, ce trigramme exprime la vie divine éternelle, qui comprend tout ce qui existe dans le monde planétaire, où les évolutions que nous mentionnerons plus tard. Suivant cette application aux hautes études religieuses, le nombre 565 nous fournit sa correspondance scientifique, qui ici, est le rapport de la circonférence au diamètre. En fait en divisant 565 par 3,14 nous obtenons 180, le diamètre formulé par un arc de cercle sur le rapporteur dcs degrés.
    L'exactitude du langage archéométrique est ainsi vérifiée par les équivalents correspondants. Il y a à ce degré plus que des analogies subjectives. En outre, ce fait révèle par là l'origine du zodiaque astral, le mot et la chose, et beaucoup d'autres lois qu'il serait trop long d'exposer dans cette brève description.

    3) Le planétarisme du langage, une zone évolutive de 6 lettres morphologiques, dans 2 positions, total 12; c'est quand la lettre solaire N est au centre de l'évolution et de l'involution ; alors la lettre lunaire B prend sa place et a deux maisons cosmologiques, comme les 5 autres lettres planétaires. Les lettres et leurs nombres logiques dans les angles sécants de quatre triangles équilatéraux inscrits formant l'étoile dodécagonale ces mêmes angles sont aussi à 30, 60, 90, 120, 180° etc. à distance les uns des autres selon les aspects cosmologiques. Ces lettres et nombres sont Sh (300) D (4) C (20) le nombre solaire N (50) G (3) Ts (90) et finalement le lunaire B (2) le total de ces nombres est 469 qui lu en décimales (4, 6, 9) donnent le trigramme DE VA TA.
    Il signifie dans les Vedas et en sanscrit la constitution divine, présidant au système évolutif dans toutes ses phases. Pour la brièveté du propos nous donnons simplement l'expression synthétique de ces nombres.

    4) Une zone musicale de notes diatoniques, avec leurs intermédiaires chromatiques et enharmoniques, indiquées sur l'échelle. Ces notes sont au nombre de 6, elles évoluent autour d'une note solaire centrale. Ces six notes ont 2 positions, total12. La note centrale, mi, divise également et unit tous ces couples homologues, soit situés selon les angles opposés de l'étoile dodécagonale, soit à 180°, si une marque est faite sur le rapporteur différentiel. Aussi nous avons les intervalles musicaux, le septième uni en deux quartes, si (mi) La, la quinte, unie en deux tierces, l'une majeure et l'autre mineure Do (mi), Sol, la tierce mineure unie en deux secondes, Ré (mi) Fa. Les positions cosmologiques vérifient celles de l'égyptien Ptolémée mais placent la note solaire et centrale mi au milieu des 6 autres notes, au centre archéométrique.

    5) Le zodiaque astral, dérivé du verbal.

    6) Le système planétaire astral, dérivé lui aussi du verbal. Ce système planétaire diatonique place le signe du soleil au centre des 6 autres, quand c'est nécessaire, selon le sujet et en cela aussi il y a une correspondance avec les séries précédentes, celles des notes et lettres évolutives.

    7) Une étoile hexagonale régulatrice, appelée étoile des solstices cosmologiques.

    8) Un petit cercle avec 6 diamètres et 12 rayons blancs pour l'étude des rayons lumineux dont on fera mention plus tard, avec leurs correspondances archéométriques.

    9) Un segment de cercles formant une pause sur une petite portée musicale de cinq lignes mélangée avec les rayons blancs. Quand elle est jointe au point central, c'est la lettre morphologique N, le nombre 50, le signe solaire et la lettre mi, étant donné qu'il est impossible d'inscrire tous ces équivalents en même temps, d'une manière suffisamment lisible dans un aussi petit espace.

    10) Le point central. Quand il est doublé en vue d'exprimer l'équation des centres, il s'accorde morphologiquement avec la lettre S et le nombre 60 (ce dernier mentionné appartient au groupe des trois constructives). Les 2 autres sont les rayons blancs sur une ligne droite, qui dans l'alphabet morphologique Vattan sont la lettre A et le nombre1, et d'autre part le cercle formé par deux semi-cercles, qui exprime dans la même écriture la lettre Th et le nombre 400. Le zodiaque et le système planétaire du langage, son involution archéométrique et son involution emploient aussi 19 lettres ou puissances verbales, 12 involutions, 6 évolutions, 1autre selon les séries étudiées. Les trois lettres constructives, A, S, Th, coïncident avec le centre, le rayon géométrique et la circonférence.
    Leur nombre total est 461, en décimales 4, 6, 1. De V.A. Dieu dans les védas et en sanscrit.

    11) A ces séries d'équivalences et de correspondances, la construction archéométrique ajoute celles de polygones réguliers et irréguliers formés par la coupure linéaire des quatre trigones équilatéraux, décrits ci-dessus comme formant l'étoile dodécagonale. La même construction donne aussi les relations de ces polygones avec les rayons sécants les arcs de cercles et les différents degrés du rapporteur.

    12) Les systèmes chromatiques. Cette construction marque le système analytique, mais dans le système ondulatoire synthétique. C'est pourquoi sa course suit l'étoile dodécagonale, triangle par triangle selon les générations suivantes. Les trois premières couleurs couvrent les surfaces des trois angles du premier trigone, celles du solstice nordique, le bleu, l'angle qui marque la lettre zodiacale Y, le jaune celle qui marque la lettre zodiacale Ph, le rouge celle qui marque la lettre zodiacale O. Ces angles étant séparés par 120°. Ce nombre est le rapport chronique, numéral de chaque couleur et par ses différences, il indiquera la composition de toutes les couleurs générées. Ainsi 60/60 exprimera les 3 couleurs générées du second trigone pour son vert (bleu/jaune) pour son orange [aune/rouge) pour son violet (rouge/bleu). Le troisième trigone chronique (ou le ler des équinoxes) procède selon la même construction à partir du second solstice. Son expression arithmologique est la suivante : 90/30, 90 bleu, 30 jaune pour le vert de cette qualité, 90 jaune/30 rouge pour l'orange du même trigone, et 90 rouge/30 bleu pour le violet. Dans le 4eme triangle, la proportion est inversement proportionnelle : 30 bleu/90 jaune, 30 jaune/90 rouge, 30 rouge/90 bleu. Ces couleurs, diatoniques dans l'étoile solsticiale, chromatique dans l'équinoxiale forment leurs enharmoniques en enveloppant les polygones interférentiels. La relation aux degrés qui donne le rapport de leur mélange est lu selon leur zone, et indiqué par le rayon bissectant. En multipliant les couples de triangles équilatéraux inscrits, c'est-à-dire en donnant à l'archéomètre 24 angles, comme un horaire enharmonique, 36 comme un endecanique la génération chromique est accrue d'autant le type régulateur de la génération demeurant à l'intérieur des limites, de l'échelle enharmonique comprenant les chromatiques et les diatoniques.

     
    Le rapporteur chromique des 120°.

    04c45acb07deb9bfb5fa6a837948761e.jpg Le secteur de 120° fait d'une matière transparente, permet aisément d'appliquer la chromologie de l'archéomètre, à l'étude des verts, du bleu au jaune, des couleurs oranges, du jaune au rouge, et finalement des couleurs violettes, du rouge au bleu. Il comprend trois zones graduées, selon leur sujet, fourni par les nombres différentiels indiqués ci-dessus et (les rayons coupant en deux les polygones interférentiels. (La vérification de ce système synthétique est effectuée en tournant l'archéomètre sur son centre. Sa relation avec le système analytique se lit par l'intermédiaire des rayons blancs du petit cercle décrit ci-dessus. Chaque couple de couleurs séparé de 180° correspond à deux rayons continus ou au diamètre blanc).